1er mai : c’est un jour férié chômé et payé, s'il tombe un jour habituel d'accueil de l'enfant. Le chômage du 1er mai ne peut-être la cause d'une réduction de la rémunération.
Le travail effectué le 1er mai ouvre droit à une rémunération majorée de 100 %.
Autres jours fériés : ils ne sont pas obligatoirement chômés et payés.
Les jours fériés travaillés sont prévus au contrat.
Lorsque l'accueil est effectué un jour férié prévu au contrat, il est rémunéré sans majoration.
L'accueil un jour férié non prévu au contrat peut être refusé par le salarié.